Depuis les années 70, Phillips est la destination de choix des collectionneurs pour acheter et vendre les oeuvres d’arts les plus convoitées. Cette année, elle bat un record et vend son premier NFT, une oeuvre de l’artiste canadien, Mad Dog Jones à 4,1 millions. De New-York à Hong Kong, des tableaux de Marie-Antoinette aux articles ménagers de Napoléon Bonaparte.


Phillips est la destination favorite des collectionneurs venant du monde entier pour vendre et acheter les œuvres les plus prisées. Le fondateur, Harry Phillips était un innovateur qui a allié le sens des affaires à l’esprit du spectacle. Phillips s’est alors imposé comme la maison de vente aux enchères la plus dynamique et avant-gardiste au monde.
Néanmoins, l’œuvre qui a marqué la maison cette année, est le REPLICATOR de Mad Dog Jones. “REPLICATOR” est l’histoire d’une machine à travers le temps.

“C’est une réflexion sur les formes d’innovation révolutionnaire du passé et une métaphore du continuum de la technologie moderne. Je suis curieux de voir comment les collectionneurs vont réagir à
mesure que l’œuvre évolue et que les NFT en leur possession continuent de créer de nouvelles générations.” – Mad Dog Jones.

Comptant plus de 250 000 followers sur Instagram depuis 2017, l’artiste canadien a commencé à explorer le médium des NFT en novembre dernier, afin d’engager davantage son public. Le “REPLICATOR” est un clin d’œil nostalgique à une technologie qui était auparavant de pointe et qui aujourd’hui devient dépassée. Après deux semaines d’enchères qui ont débuté à 100 dollars, le NFT a été vendu par Phillips à plus de 4 millions de dollars.

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