L’art peut être une simple toile avec de la couleur et des formes, mais aussi abstrait, avec ou sans connotation, complexe… mais avec Johanna Tordjman, l’art est pur. À l’occasion de son exposition virtuelle et physique 25h01, découvrez la jeune peintre qui prend ses proches comme modèles et les sublime à travers des esquisses. 


Un parcours long comme un pinceau, Johanna débute en tant que graphiste. Les années suivent et elle se développe en tant que calligraphe mais aussi directrice artistique. Six années passent et elle crée « The Tordjmaniac ».
Elle débuta la peinture à ses 25 ans, en prenant comme modèles ses compères. De son agent Sam, en passant par Omar Sy, jusqu’à représenter des problèmes sociaux, la transmission de ces personnages sur une toile nous donne une impression de pureté. 

Véritable adepte des réseaux sociaux, c’est en 2016 qu’elle se fait repérée par la Galerie 38 basée à Los Angeles pour une présentation. C’est ainsi que débute son aventure artistique autour du monde. Elle passe par Hong Kong, l’Art Basel de Miami ou encore Bâle l’année suivante pour montrer son talent. 

2018 est synonyme de grandeur, elle obtient la Halle des Blancs-Manteaux pour délivrer toutes ses prouesses. 2019 fut l’année de confirmation parisienne avec à la clé deux expositions : Internet Explorer et Welcome to the Republic of Tordjmanistan durant la FIAC (mais aussi à Miami pour l’Art Basel). 

Son exposition actuelle se nomme 25h01, doté d’un film et de peintures visibles via son site. Dans ce film, on y trouve Angélique Kidjo, Omar Sy, des étudiants mais aussi des intervenants venant de différents pays comme la Mauritanie, la Centrafrique ou encore l’Afghanistan. Le titre est en rapport à la traversée de ses grands-parents qui aura duré 25 heures entre l’Algérie et la France pendant la Guerre d’Algérie.

Entre témoignages et peintures, Johanna souhaite « remettre en question nos souvenirs collectifs et individuels » mais aussi « interroger tous ces souvenirs et chemins de vie qui sont nos arbres généalogiques universels ». 

Retrouvez son exposition virtuelle (ainsi que le film) en cliquant sur ce lien.

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